Les Khans \\"auberges\\" traditionnels : nerfs économiques de la vieille ville de Karbala
Le terme de khan,jusqu’à une recente époque ,était une des appellations courrantes phonique et contenu dans la ville de Karbala en raison de son importance sur la réalité économique et sociale de ses habitants .Les vieux khans s’y répandaient ,notamment ,Karbala était et l’est encore un lieu bien visité « qibla » par des visiteurs ,venus de partout, du monde islamique .
Les khans , des batiments construits pour le commerce ,l’industerie,et la résidence touristique.Ils formmaient les hotels de cette époque-là.Le khan se compose de ruz-du-chaussé ,qui est un marché commercial et industriel ,dans lequel trouvaient les voyageurs des écuries pour leur chevaux ,par ailleurs ,il avait une étage supérieure comprenant des chambres pour la résidence des voyageurs et des négociants.
Le khan avait une grande porte que le gardien fermait à l’heure du couchant et une petite ne s'ouvrait pas à ses habitants par le gardien qu’au cas d’urgence .Le plus souvent ,les marchés sont destinés pour la vente en détail mais le khan pour celle en gros .
Le pèlerin ,Said al khafagie ,compté parmi les rares vieux qui est vivant encore dans la ville ,a-t-il dit en nous informant de l’appartenance des khans ,et les causes de leur construction :« la plupart des khans appartient aux gens riches .Ils se sont construits pour faire durer et favoriser l’arrivée des marchandises de toute la région de l’Irak ,,exportées et importées et les emmagasiner .D’ailleur,les khans sont des sources riches pour faire parvenir les fonds (l’argent) gagnés du tourisme étrangers « visiteurs,négociants,aussi que les voyageurs qui sont arrivés à la ville .
Le khan Abu al duhun (huile)
Monsieur Aubeide Tabour, né dans l’un des khans de l’ancienne ville ,nous en parle de la nature de services y présentés et fourrnis par les khans aux gens à cette époque-là ,dit-il ,Le khan abu al Duhn étais ,jusau’au début des années cinquante du siècle dernier , au milieu de la ville ,comprenant des magasins commerciaux ,sous la forme d’un hall parmi d’autres selon le meme type ,l’un attaché à l’autre ,occupés par les négociants et les professionels pour répandre les marchandises .Accueillir les visiteur et garder les marchandises et les magasins ,di-il , c’était mon métier ,en plus j' entretiens le khan aussi qu’en faisant le ménage .
Le terme de khan ,jusqu’à une récente époque ,était une des appellations courantes phonique et contenu dans la ville de Karbala en raison de son importance sur la réalité économique et sociale de ses habitants .Les vieux khans s’y répandaient ,notamment ,Karbala était et l’est encore un lieu bien visité « qibla » par des visiteurs ,venus de partout, du monde islamique .
Les khans , des bâtiments construits pour le commerce ,l’industerie,et la résidence touristique. Ils formaient les hôtels de cette époque-là.Le khan se compose de ruz-du-chaussé ,qui est un marché commercial et industriel ,dans lequel trouvaient les voyageurs des écuries pour leur chevaux ,par ailleurs ,il avait une étage supérieure comprenant des chambres pour la résidence des voyageurs et des négociants.
Le khan avait une grande porte que le gardien fermait à l’heure du couchant et une petite ne s'ouvrait pas à ses habitants par le gardien qu’au cas d’urgence .Le plus souvent ,les marchés sont destinés pour la vente en détail mais le khan pour celle en gros .
Le pèlerin ,Said al khafagie ,compté parmi les rares vieux qui est vivant encore dans la ville ,a-t-il dit en nous informant de l’appartenance des khans ,et les causes de leur construction :« la plupart des khans appartient aux gens riches .Ils se sont construits pour faire durer et favoriser l’arrivée des marchandises de toute la région de l’Irak ,,exportées et importées et les emmagasiner .D’ailleurs ,les khans sont des sources riches pour faire parvenir les fonds (l’argent) gagnés du tourisme étrangers « visiteurs ,négociants ,aussi que les voyageurs qui sont arrivés à la ville .
Le khan Abu al duhun (huile)
Monsieur Aubeide Tabour, né dans l’un des khans de l’ancienne ville ,nous en parle de la nature de services y présentés et fournis par les khans aux gens à cette époque-là ,dit-il ,Le khan abu al Duhn étais ,jusqu' ’au début des années cinquante du siècle dernier , au milieu de la ville ,comprenant des magasins commerciaux ,sous la forme d’un hall parmi d’autres selon le même type ,l’un attaché à l’autre ,occupés par les négociants et les professionnels pour répandre les marchandises .Accueillir les visiteur et garder les marchandises et les magasins ,di-il , c’était mon métier ,en plus je entretiens le khan aussi qu’en faisant le ménage .
Un peu à l’approche du coucher du soleil, je fermais les portes du khan, dans la peur du pillage, ou encore la fuite de bétail dont les propriétaires y mettent puisqu’ils y trouvent un bon auberge. ".
Il y avait dans chaque khan, ajout-il Tabour, un coiffeur, un sage pour prendre soin des cas urgents, comme la migraine et le mal à la dent.
La façon d'arracher la dent
Mais il nous a dit un paradoxe anecdote concernant une façon de traitements suivie à cette époque -là pour arracher la dent cariée et déchainée :" le sage emmène le plus souvent ,avec lui un garçon entrainé à anesthésier le patient dont la dent est cariée, selon l'ancienne façon .Ce garçon s'arrête derrière le patient sans qu'il sente sa présence ,en tenant une bâton épaisse par la main .Il le frappe à la tête pour que le patient perde conscience ,à ce moment le sage commence à arracher facilement la dente cariée .On apporte ensuite le malade en saignant de tête et de bouche à un lieu pour le laver et le faire réveiller .
L' ancient khan "auberge" al Zawra
Mais à ce qui concerne le khan de la maison de Wachah connu en ce moment par khan d' al Zawra par rapport à la ligue des supporteurs du club al Zawra qui le prennent un siège .Il se trouve au début de la rue d'Abbas .Cette rue est considérée comme la rue commerciale la plus importante de la ville .Ce Khan est considéré le plus ancien parmi les khans de la ville après l'ouverture d'une partie de la muraille qui entoure la ville de Kerbela en 1881,suite à l'ordre de Medhat Pacha de faire exister les deux banlieues ,Al Abassya d'est et celle d'ouest dont la plupart des habitants sont des juifs .
Abrahim al Ameri ,un actif à l'archive dans 'histoire de la ville a dit :le khan d'al Zawra était un centre commercial très important dans la ville avant que la muraille se disparaisse .Il était un rendez-vous pour des différents négociants ,ainsi qu'un réservoir pour les marchandises ,comme laine , dattes , sel , huile et cuir venant des autres préfectures.
Al Ameri a ajouté :beaucoup de caravanes commerciales ont pris de ce Khan "auberge"un point de départ pour Iran et les pays du Golf Arabe .
Al Ameri a repris :Le khan se change en exposition de vente et du commerce des voitures importées lors de l'occupation britannique .
Il y avait un puis d'eau se sert à l' abreuvage dont les traces sont encore ineffaçables .Il se change en groupe commerciale qui comprend plusieurs magasins ,usine de menuiserie et la production des sucreries .
Khan Al Niss"le milieu" et Al Rube"le quart ".
En plus des khans se sont répandus hors des frontires de la ville ,sont encore vus qui existent au sud de Kerbela ,comme khan Al a'ytichi , khan Al re'baa , qui se sont classés parmi les lieux d'héritage
Selon les sources historiques :ces khans se sont construits par les Safawyens , parmi des séries de khans lors de leur occupation de l'Irak ,pour assurer le départ des caravanes de visiteurs qui s'orientent vers les sanctuaires sublimes ,et être abri pour eux .La distance entre les khans est prise en considération à condition que cette distance ne dépasse pas une démarche d'un seul jour de marche .La caravane part l'aube pour arriver au couchant du soleil , toujours selon Al- Ameri